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				|  DU BREVET AU BAC
 Préparation au brevet et au bac de français, philosophie et HLP
 
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		| Prépabac, examen2017 Administrateur
 
  
 
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				|  Sujet: Citations : Ronsard  Mar Déc 07, 2010 8:56 pm |   |   
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				| Citations : Ronsard 
 Vivez, si m'en croyez, n'attendez à demain. Cueillez dès aujourd'hui les roses de la vie.
 
 On ne meurt point, on change seulement
 De forme en autre, et ce changer s'appelle
 Mort, quand on prend une forme nouvelle ...
 
 Mignonne, allons voir si la rose
 Qui ce matin avait déclose
 Sa robe de pourpre au soleil,
 A point perdu cette vesprée
 Les plis de sa robe pourprée
 Et son teint au vôtre pareil.
 
 Le temps s’en va, le temps s’en va, madame;
 Las! Le temps, non, mais nous nous en allons.
 
 L'avenir appartient à celui qui le mérite.
 
 La jeunesse s'enfuit sans jamais revenir.
 
 Celui qui se connaît est seul maître de soi.
 
 Cueillez, cueillez votre jeunesse: Comme à cette fleur, la vieillesse fera ternir votre beauté.
 
 LISTE DES POÈMES DE L´AUTEUR :
 
 Pierre de RONSARD   (1524-1585)
 A Cupidon
 
 À la forêt de Gastine
 A lui mesme
 A sa lyre
 A son âme
 Ah longues nuicts d'hyver de ma vie bourrelles
 Amour me tue, et si je ne veux dire
 Amour, je ne me plains de l'orgueil endurci
 Amour, tu sembles ...
 Amourette
 Ange divin, qui mes plaies embaume
 Autre du même à la même dame
 Avant le temps tes temples fleuriront
 Bien que les champs, les fleuves et les lieux
 Bonjour mon coeur, bonjour ma douce vie
 Ce beau corail, ce marbre qui soupire
 Ce jour de Mai qui a la tête peinte
 Celui qui boit ...
 Ces liens d'or, cette bouche vermeille
 Chanson
 Ciel, air et vents, plains et monts découverts
 Comme on voit sur la branche au mois de may la rose
 Comme un chevreuil, quand le printemps destruit
 Contre Denise Sorcière
 Contre les bucherons de la forest de Gastine
 Dans le serein de sa jumelle flamme
 Dedans des Prez je vis une Dryade
 Donne moy tes presens en ces jours que la Brume
 Douce Maîtresse
 Elégie à Janet, peintre du roi
 Epitafe de Francois Rabelais
 Foufroye moy de grace ...
 Ha ! que je porte et de haine et d'envie
 Hinne à la Nuit
 Il faut laisser maisons et vergers et jardins
 J'ai l'esprit tout ennuyé
 J'ai pour maitresse ...
 Je n'ay plus que les os, un Schelette je semble
 Je ne suis seulement amoureux de Marie
 Je plante en ta faveur cet arbre de Cybèle
 Je veus lire en trois jours l'Iliade d'Homere
 Je veux mourir pour tes beautés, Maîtresse
 Je voudrais bien richement jaunissant
 Je voudrais être Ixion et Tantale
 Je vous donne des oeufs. L'oeuf en sa forme ronde
 Je vous envoye un bouquet que ma main
 L'an se rajeunissait en sa verte jouvence
 Le boyteus mari de Vénus ...
 Le Ciel ne veut, Dame, que je jouisse
 Le soir qu'Amour vous fit en la salle descendre
 Le vintieme d'Avril couché sur l'herbelette
 Ma maîtresse est toute angelette
 Madrigal
 Maîtresse, embrasse-moi, baise-moi, serre-moi
 Marie, à tous les coups vous me venez reprendre
 Marie, baisez-moi ; non, ne me baisez pas
 Marie, levez-vous, ma jeune paresseuse
 Marie, que je sers en trop cruel destin
 Marie, qui voudrait votre beau nom tourner
 Marie, vous avez la joue aussi vermeille
 Marie, vous passez en taille, et en visage
 Meschantes nuicts d'hyver
 Mignonne, allons voir si la rose
 Mon Dieu, que j'aime à baiser les beaux yeux
 Ni de son chef le trésor crépelu
 Ny voir flamber au point du jour les roses
 Ô doux parler, dont l'appât doucereux
 Ô Fontaine Bellerie
 Ode à Cassandre
 Ode à l'Aloüette
 Ode à la fièvre
 Ode en dialogue des yeux et de son coeur
 Ode en dialogue, l'Espérance et Ronsard
 Odelette
 Odelette à l'Arondelle
 Odelette à sa maistresse
 Odelette a son bouquet
 Odelette à une jeune maîtresse
 Ores l'effroi et ores l'espérance
 Par un destin dedans mon coeur demeure
 Petit nombril, que mon penser adore
 Plus mille fois que nul or terrien
 Plût-il à Dieu n'avoir jamais tâté
 Pour son tombeau
 Pourtant si ta maîtresse...
 Pren ceste rose aimable comme toy
 Quand au temple nous serons
 Quand en songeant ma folâtre j'acolle
 Quand je pense à ce jour, où je la vey si belle
 Quand je suis tout baissé sur votre belle face
 Quand je suis vingt ou trente mois
 Quand je te voy seule assise à par-toy
 Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle
 Que tu es Cicéron ...
 Qui voudra voir comme un Dieu me surmonte
 Quoy mon ame, dors tu engourdie en ta masse
 Si je trépasse entre tes bras, Madame
 Si mille oeillets, si mille liz j'embrasse
 Si seulement l'image de la chose
 Soit que son or se crêpe lentement
 Stances
 Sur mes vingt ans, pur d'offense et de vice
 Tant de fois s'appointer, tant de fois se fascher
 Te regardant assise auprès de ta cousine
 Tu te moques, jeune ribaude
 Une beauté de quinze ans enfantine
 Verson ces roses pres ce vin
 Vous me distes, Maitresse, estant à la fenestre
 Vu que tu es plus blanche
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